Me semble que la partie plus important et au même temps problématique de son travail c'est la affirmation de la ville Belo Horizonte comme un cas exemplaire "d'appropriation de l'architecture européenne, notamment celle diffusé, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, par L'École des Beaux-Arts de Paris, où José de Magalhães, auteur du projet architectural de Belo Horizonte, a reçu sa formation." 

C'est à dire, même avec sa reconnaissance de que les idées d'aménagement urbanistique sont au "l'air du temps", et qui Chicago, Washington et La Plata sont également au cerne du mouvement de transformation des ville brésiliennes, Angotti priorise les relations entre Europe ( Paris, dans ce cas la) et Brésil. Il faut reconnaître qu'il s'agit d'un des plusieurs approche possible qui permet expliquer le renouvellement du espace urbaine en Minas Gerais, mais, cependant, ce la marque d'une historiographie que cherche pour l'origine des idées que imprègne le phénomène de invention d'une nouvelle ville-capitale au milieu du XIXe siècle e début du XXe siècle. À mon avis, Il ne s'agit pas de déconsidérer l'importance d'une façon de penser la ville, l'urbanisme et l'architecture en Europe, mais de considérer qui toutes les représentations mythiques, économiques et symboliques mentionné ci-dessus sont également constitutive de les formes urbaines parce que ils remettent à un intérêt qui a approprié les significations d'un communauté, de la province.

L'utilisation des révoltes de 1789 dans les discours de développement de l'État e aménagement urbaines des leurs villes par exemple, s'agit de récupérer le sens d'une communauté imaginaire pour légitimer le pouvoir politique e les transformations sociales. 

Elle évoque un complexe relation entre la réception des modelés, la circulation des concepts et des formes entre Brésil et France pour mettre ensemble les dos pays. Malheureusement, l'équivoque pour moi c'est justement le mouvement méthodologique d'établir une hiérarchie entre les dos que marque un comme récepteur d'outre.

Il semble plus approprié de me regarder à Paris juste à comprendre que leurs frontières intellectuelles étaient ouverts au XIXe siècle pour une porte très importante: à la presse et de l'édition. Non seulement les romanciers brésiliens que X et Y ont été imprimées en portugais et en français à Paris, mais aussi ingénieurs Saturnino de Brito,  Aarão Reis, Victor da Silva Freire. Non seulement parce qu'il serait légitimer un filtre à ce moment-là, mais parce qu'il serait économiquement faisable et pratique. Paris a également laissé publications importantes pour les professionnels brésiliens que le manuel allemand J. Stubben, dont le français était la version la plus répandue.

Dans le même période, Paris a également concentré publications techniques et la correspondance en provenance d'autres villes européennes sur l'administration publique, pas encore bureaucratique et spécialisée comme il le serait dans le XXe siècle.

Language (The language you are writing in)