La haine, drame en noir et blanc et gagnante de la palme d’or, réalisée par Mathieu Kassovitz et sorti en 1995 suit une journée dans la vie de trois jeunes ‘de la téci’ aux Chanteloup-les-Vignes, cité des Muguets, Paris (78). En la dernier scène de la Haine Kassovitz utilise beaucoup des techniques qui le rendre la scène avec a plus d’impact sur le lecteur.

 

Premièrement il est la minutage, qui fait écho a la film « l’Ordre et Morale ». Avant la mort de Vinz, la minutage est « 6h00 » et après il est « 6h01 ». Avec la utilisation de la minutage en cette manière Kassovitz nous montre que tout peut change en juste une minute- un chose très puissant, qui ont beaucoup d’impact. Il est un technique qui souligne un des thèmes de la Haine : la thème de change. Quelques changes désirable- « je veux partir d’ici, je veux quitter la cité » (Hubert, scène ……) et quelques pas, comme la mort du Vince.

 

Deuxièmement il est la technique du langue métaphorique, comme la statue avec la grand main qui touche la tête d’un personne (la dernier scène, écoute de Henri de Miller en les halles), qui nous s’incitent a pense de leur message- Kassovitz utilise les plans qui reste sur les choses métaphorique pour nous encourage de les remarquons. Ecoute symbolise la vérité que il faut que l’on écoute à les difficultés qui face la « société qui tombe » (voix off Hubert, fin de la film). Au pied de la statue Saïd dit tu veux tuer un keuf vas-y, ne te gêre pas pour nous, mais tu le fais tout seul” (Saïd au pied de la statue scène finale) qui symbolise la fait que bien que les trois jeunes soient des amis, ils n’aidera pas Vinz en meurtre. En utilisant le technique de la langue Kassovitz nous montre les limites de leur amiète.

 

Troisièmement Kassovitz utilise le zoom sur le pistolet pour nous encourage de penser a la réalité du Mal: la violence policière et la violence des jeunes qui ont leur pistolets et leur « cailloux » (l’homme qui face la police seule au début de la film), et le Mal du gens qui ne font rien pour arrêter la violence.

 

En guise de conclusion Kassovitz a crée un film sur les sujets très importants pour la vie humain- il a « fait un film comme il fallait le faire. Un film sérieux qui restera » (Mathieu Kassovitz) qui est révélateur, choquant et puissant, et avec le choc de le mort du Vinz en la dernier scène il a s’assuré que la film restera. Pour cette raison, la dernier scène a la plus d’impact sur la spectateur.

 

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