Après une adolescence amusante et pleine d’expériences remarquables, il y arrivait un nouveau changé transcendantal, la transition à l’université. Je n’étais pas excité pour l’université, mais mon père avait prévu la situation et je me suis retrouvé à étudier l'architecture à l’université technique Santiago Mariño (lieu de travail de mon père). Heureusement j’avais l’accompagnement de mon meilleur ami, Freddy.

Pendant les années du lycée, Freddy devint mon complice de polissonneries. Nous fîmes la fête, connûmes beaucoup de filles et nous bénéficiâmes de l’instruction prémilitaire et du conseil des étudiants. Ainsi, nous commençâmes ensembles cette nouvelle étape telle immatures comme quelqu’un  peut supposer. En conséquence, notre séjour à cette université était tumultueux dès le premier semestre. Nous eûmes un niveau académique bas et abondantes problèmes avec le professeur plus important, le professeur d’atelier de design.

Malgré tout, Freddy et moi trouvâmes le moyen pour faire l’université plus drôle, c’était à travers des nouveaux amis : William, Gabriel et Arturo. Ils avaient des caractéristiques et des intérêts communs à les nôtres, donc, nous formâmes un ensemble consacré à faire la fête. En fait, la fête durait de lundi à lundi, sûrement nuire à nos études. Mon père était très furieux mais je reconnais que ses opinions n’avaient aucune importance pour moi.

Au cours des mois, la situation restait la même. En fait, nous commençâmes à travailler dans la plus populaire discothèque de la ville et, inévitablement la situation aggrava. C’était une étape vraiment amusante mais trop prolongée. Nous vécûmes dans une bulles je décidai de rompre. Ma décision s’accomplis quand je partis vers une nouvelle université, l’Université des Andes. C’était un lieu très diffèrent et j’avais nombreuses difficultés pour l’adaptation. Toutefois, il manquait l'élément essentiel pour les changements à venir.

Quand j’avais d’environ six mois dans l’Université des Andes, je connus une belle étudiante en génie, son nom, Sophie. Au-delà de ses bons regards, dès le début, il était évident qu’elle avait des qualités magnifiques. Heureusement (et de façon incroyable) je réalisai obtenir une opportunité et je la profitai avec succès. Entre autres choses, elle m’aida à obtenir mes pieds sur le sol, en fait, rapidement je laissai derrière mes difficultés au collège. En définitive, en compagnie de Sophie ma vie avait tourné autour de 180 degrés en un an seulement.

Postérieurement, et après certains mois passionnés, je trouvai un travail à la Municipalité de l’état Mérida, oui, dans l’administration dirigé par le président Hugo Chavez. D'une certaine manière, je réalisai éviter les filtres politiques, bien que pendant mes années là-bas, la pression était constante. Souvent, dans l’établissement nous reçûmes des lettres indiquant la participation obligatoire à une concentration de nature politique (avec vêtements rouges). Il y avait aussi une menace constante de congédiement à quelqu’un  si nous n’étions pas fidèles à la partie. Pendant les périodes électorales, nous étions obligés à faire « travail politique », en d'autres termes, nous devions faire de la propagande politique et de chercher votes pour le parti.

Il y avait autre problème très important, la municipalité laissait seulement 5 heures par semaine pour étudier. Bien que je fus promu rapidement (4 fois en deux ans), mes études universitaires étaient presque paralysées. Quand j’analysais les solutions possibles, le directeur du bureau local me donna la lettre de congédiement. Le prétexte était simple, « ajustement budgétaire », mais tout le gens savait qu'il était à cause de mes convictions politiques (contre le gouvernement). En effet, après seulement deux semaines de mon départ, ma position était déjà occupée par un adepte du gouvernement. Je fis appel au tribunal du travail, mais, après quatre ans, ils n’ont pas de réponse. Évidemment, le tribunal est aussi chavista, bolivariano y revolucionario, en simple mots, les arbitres sont adeptes au gouvernement.

Tandis qu'une porte se ferme, une autre ouvre, au moins, ce fut mon cas. Merci à l'appui financier de mon père, je commençai mes études dans autre université. Donc, actuellement Sophie est encore à mon côte et je suis étudiant du sixième semestre d’un Licence d’Éducation en Langues Modernes (anglais et français - Bac + 5) à l’Université des Andes et aussi du sixième semestre d’une Licence en Education en Langue et Littérature (espagnol - Bac + 5) à l’Université Pédagogique Expérimentale Libertador. Jusqu’ici, quelqu’un pourrait voir une fin fortunée. Malheureusement, ce n'est pas le cas.

Suivant la réception de cette lettre, j’ai vu que la réalité dévastatrice de mon pays s’aggrava chaque jour. En fait, après les années d’études en retard pour le travail, les protestations constantes des universités publiques pour l'asphyxie budgétaire et les fortes et prolongées protestations sociales pendant l’année 2013, ont fait de nouveaux retards dans mes études universitaires. Le pire arriva quand je veux mes affaires pâlissent en comparaison des autres problèmes de mon pays. L'inflation incessante, l'incroyable pénurie de produits de base, la corruption endémique et la répression brutale contre la demande minimale de la population, sont déjà des questions de routine.

C’est possible que la terminaison de mon histoire semble hors de l'endroit, mais cette réalité affecte tous les aspects de la vie quotidienne. Surtout parce qu’il est difficile de faire des projections pour l'avenir quand il y a si peu de certitudes autour. En fait, il est difficile de parler de la finalisation de mes études lorsque les universités publiques dans mon pays sont sur le point d'une « fermeture technique ». Peut-être le point est de voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide et dire que cela est une histoire avec une fin ouverte.

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